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L’immobilier semble bien résister au marasme socio-économique. S’il y a bien un endroit où il faut se réfugier, c’est la maison. Avec ou sans la crise sanitaire mondiale, le marché intéresse beaucoup les Français. De plus, il leur est possible d’investir dans la pierre sans pour autant disposer d’un apport personnel. Découvrez-en davantage de raisons d’y placer votre argent.

La rentabilité du secteur immobilier attire du monde

Le secteur immobilier marque sa différence par une certaine stabilité. Les prix ne chutent pas drastiquement. Cela arrive une ou deux fois tous les siècles. Il faut observer certaines conditions pour profiter de cette bonne santé relative. Le marché des maisons et appartements se porte bien malgré tout, à condition de miser sur les biens locaux. Le rapport entre le coût de l’acquisition et le loyer est déterminant. C’est la définition même de la rentabilité brute. Par contre, il faudra tenir compte des différentes dépenses. La villa peut par exemple demander des travaux. Puis, les impôts sont entièrement à la charge du propriétaire. Ils sont calculés à partir de la surface habitable. Dans tous les cas, un bien locatif permet d’amortir l’investissement en quelques années. Le placement devient rentable si le type d’offre choisi correspond à la demande.

Quelle que soit la conjoncture, la demande afflue

En 2020, certains aspects de la demande restent inchangés. Les étudiants cherchent toujours à louer un studio. En période de crise d’envergure, ils veulent aussi des logements de type T2, voire T4, pour se mettre en collocation. À plusieurs, il est possible de mieux supporter le loyer. Puis, c’est plus cool de se partager les galères du quotidien en groupe. Moins anecdotique, la pression démographique constitue un paramètre à tenir très au sérieux. Cet indicateur montre les villes où l’investissement locatif pourrait être rentabilisé efficacement. Certaines agglomérations souffrent littéralement de pénurie de logements. Dans un contexte social et financier difficile, les familles préfèrent habiter à l’écart du centre-ville. Le loyer y est plus abordable, mais elles cherchent surtout à s’éloigner des zones à risque. Pour leur part, les expertes en placement recommandent de suivre de près les banlieues au potentiel de croissance important. L’économie ne peut que reprendre son envol après la récession.

Investir dans la pierre, c’est assurer l’avenir

Aux côtés de l’or, l’immobilier reste l’un des placements les plus stables qui soient. Les particuliers trouvent en ce secteur un investissement pérenne. C’est aussi un moyen de constituer un patrimoine à céder à la postérité. Une maison qui éprouve du mal à accueillir un locataire ne donne pas les cheveux blancs. Son prix augmente avec le temps s’il faut un jour la revendre. Le plus value dégagé équivaut bien à la patience. Les crises cycliques reviennent régulièrement remettre en cause certains principes. Heureusement, ces périodes difficiles sont limitées L’investisseur peut partir avec zéro euro dans son compte pour devenir propriétaire. Pour cela, il emprunte de l’argent à la banque. Cette dernière lui accorde un prêt immobilier avec des conditions assez souples. L’apport personnel reste facultatif dans de nombreuses institutions financières. Avoir un plan épargne logement ou un autre programme du même style est à saisir. Les titulaires de ces comptes spéciaux peuvent acheter des actions dans une société civile d’investissement immobilier.